Ikiro

Benoît-Marie Lecoin

Aux forges de Vulcain

  • Conseillé par
    29 janvier 2024

    Japon, merveilleux

    J'ai aimé le début du roman : le personnage de Ikiro, sa grand-mère, sa ville.
    J'ai aimé que le récit prenne la route du merveilleux : le chat qui parle, les tamagos.
    J'ai aimé l'amour de Ikiro pour Midori.
    J'ai aimé le leitmotiv de la montre qui ne fonctionne plus posée sur la table de nuit chaque soir.
    Mais l'auteur m'a perdu quand il passe du "il" au "je". Je n'ai pas aimé que Ikiro raconte ses rêves d'un futur avec Midori. Le style était plat et le contenu inintéressant pour moi.
    J'ai été agréablement surprise en début de lecture que constater qu'un auteur européen écrivait un roman japonais aussi bien qu'un japonais. Mais trop de merveilleux a eu raison de mon enthousiasme.